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MARDI 6 JUILLET
AGUAY
Un autre mouillage magnifique, une jolie petite station familiale bien tranquille
Cette fois, on n'a pas fait attention et on s'est fait avoir ......mouillage payant .....24 Euros pour un cata quelque soi la longueur ....(pour une fois !)
En général on ne rentre jamais dans les ports (trop chers, trop encombrés), sauf pour faire de l'eau et du carburant.
on est autonome grace à l'éolienne, aux panneaux solaires et au 600 Litres d'eau douce dans la cuve
MERCREDI 7 JUILLET
VILLEFRANCHE SUR MER
Partis vers 9 heures ce matin arrivons sous une grosse chaleur vers 16 heures, bain pour se rafraichir
Une rade exceptionnelle, nous mouillons en face de la vieille ville aux couleurs ocre
Tout comme Saint Tropez, une petite ville ancienne escarpée tout en escaliers et aux rues tortueuses d'un autre age, un petit air d'Italie
Nous montons à la citadelle, et là une vue à couper le souffle !
Encore un navigation sans vent aujourd'hui !!!!
Villefranche sur mer, un petit bijou, qu'il faut avoir vu à tout prix !
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DIMANCHE 4 JUILLET
Après les courses au marché d'Hyères, nous levons l'ancre et partons en direction de SAINT TROPEZ, tout au moteur car pas de vent !
Nous arrivons vers 17 heures en vue de saint Tropez, que de yatchs sur l'eau, de toutes les tailles, de toutes les formes.....On se sent un peu petits au milieu de tous ces monstres!
Nous mouillons en face la grande plage de Pampelonne, célèbre pour ses plages privées très à la mode chez les millliardaires !
Mais, on ne va pas rester très longtemps à cet endroit et nous cherchons un autre mouillage !
Cette fois, nous trouvons en enroit charmant, plus calme, LA BAIE DES CANEBIERS, très verdoyante.
on dit que la maison de Brigitte Bardot, la célèbre Madrague serait dans le coin, mais on n'a rien vue ! on n'a pas cherché non plus !
Dodo au calme, loin des fiestas de Tahiti Plage !
LUNDI 5 JUILLET
De bonne heure, le temps est gris et très chaud, nous prenons l'annexe pour aller visiter SAINT TROPEZ.
Après une dizaine de minutes d'annexe, nous arrivons dans une petite crique sublime, un petit cimetière marin juste avant d'arriver, et le vieux village de Saint Tropez avec ses vieilles batisses aux couleurs ocre s'offre à nos yeux !
Nous descendons et nous commencons à entrer dans le dédale des rues anciennes et fleuries, des fleurs, des fontaines, on ne s'attendait pas à ca !
Nous continuons la visite pour aller sur le port bordé de yatchs toutes catégories aussi haut que les maisons du port !
Je me demande le plaisir que peuvent tirer ces gens d'etre en vitrine à la vue de tout le monde !
bref, il faut bien se faire remarquer !
Nous ne partirons pas sans aller prendre un pot à la fameuse terrasse du SENEQUIER...un peu ringard et désuet !
LE SOIR
Nous allons prenre un pot "AU CAFE" c'est son nom, sur la" PLACE DE LiCES", célèbre place ou les célébrités vont jouer à la pétanque. Nous sommes surpris car il y a peu de monde à Saint Tropez ...
saint Trop' ,'est plus ce qu'il était !
la place des Lices
En tout cas nous avons beaucoup aimé la visite du vieux village !
photos suivent
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La tarte tropézienne est un gâteau composé d'une brioche au sucre garnie d'un mélange de crème au beurre et de crème pâtissière, une recette d'origine familiale du pâtissier Alexandre Micka.
Histoire [
Débarqué en Provence au début des années 1950, Alexandre Micka, alors jeune pâtissier d'origine polonaise, décide d'ouvrir à Saint-Tropez une boulangerie pâtisserie. Le jeune homme a également ramené de Pologne la recette d'un gâteau à la crème de sa grand-mère, et il le vend dans sa pâtisserie.
En 1955 se tourne à Saint-Tropez le film de Roger Vadim, Et Dieu... créa la femme.
Et c'est Alexandre Micka qui est chargé de réaliser les repas pour l'équipe de tournage, dont accessoirement son gâteau.
Brigitte Bardot conseille alors au jeune pâtissier de nommer sa tarte La tarte de Saint-Tropez.
Alexandre Micka, lui, optera pour La tarte Tropezienne, puis dépose, la marque et le brevet de fabrication dans la foulée.
En 1985, Albert Dufrêne est présenté à Alexandre Micka par l'intermédiaire d'un ami d'enfance. La même année, il rachète le célèbre nom et le savoir-faire à Alexandre Micka.
Sans rien changer à la technique de fabrication, toujours artisanale, le nouveau propriétaire va progressivement multiplier les points de vente dans le golfe de Saint-Tropez.
Puis, grâce à ses relations dans le milieu de l'automobile, Albert Dufrêne (et son ami surnommé "Le P'tit chef", ex cuisinier de l'équipe Renault F1) devient le traiteur officiel de l'écurie Renault dans les Grands Prix de Formule 1 jusqu'en 1996, date à laquelle Renault abandonne la Formule 1.
Depuis le milieu des années 2000, la technique de fabrication de la fameuse crème est entièrement automatisée.
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