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      Ce matin, bonnet sur les oreilles, grosses écharpes de laine entourée autour du cou, gants,il fait très froid - 3° mais la tramontane glaciale souffle fort, nous voilà partis pour faire une petite promenade sur le port ...

    Les bateaux de peche sont figés dans la glace, de mémoire de marins, ils ne doivent pas voir ca souvent ici !

     

     

     

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    http://images.midilibre.fr/images/2012/02/09/hier-aux-saintes-maries-de-la-mer-benjamin-vollot-a_359743_508x253.jpg

    http://www.midilibre.fr/2012/02/09/en-camargue-un-hopital-pour-les-flamants-roses,455740.php

     

     

     

    Grand Sud En Camargue, un hôpital pour les flamants roses PIERRE BRUYNOOGHE 10/02/2012, 06 h 00 10 Midi libre.fr

     

     

    . Hier, aux Saintes-Maries-de-la Mer, Benjamin Vollot a accueilli de nouveaux pensionnaires blessés et surtout frigorifiés.

     

    (Photo D. QUET) Passe-moi la Bétadine, ainsi qu’une compresse." Depuis le début de la semaine, Benjamin Vollot soigne des patients d’un genre particulier :

    des flamants roses. Seize, pour l’instant, tous accueillis par le parc ornithologique de Pont de Gau aux Saintes-Marie-de-la-Mer, où les ornithologues, transformés en infirmiers, ont déjà l’habitude de remettre sur pied des volatiles blessés ou en toute petite forme.

     

    "Depuis toujours, notre parc recueille des oiseaux pour les soigner. Ainsi, de temps en temps, on nous apporte un flamant rose. Pour autant, il est rare que nous en ayons autant en même temps. La dernière fois, c’était en 1985. Cette année-là, nous en avions recueilli près de 200", commentait Frédéric Lamouroux, l’un des ornithologues.

     

    "Jusqu’à - 20 °C en température ressentie" Benjamin Vollot Le responsable de cette situation n’est autre que le gel qui a transformé en patinoires la quasi-totalité des étangs du littoral.

     

    Privés de leur habitat, les flamants - qui ne vivent que dans l’eau - endurent l’épreuve du froid, sans pouvoir accéder à leur nourriture :

    des microcrustacés, dont l’artémia riche en carotène, qui donne aux flamants le rose de leur plumage.

     

    Les oiseaux tournent donc des heures dans les airs, avant de trouver un des rares coins d’eau épargnés.

     

    Luttant contre le vent, ils s’épuisent et se blessent parfois en se posant, à bout de force, sur la glace.

     

    C’est bien le pire des scénarios pour les ornithologues. Car, si un flamant se casse une patte, ses chances de survie deviennent nulles. Surtout dans ces conditions climatiques. "Le thermomètre a dû descendre à - 9 °C, voire - 10 °C.

     

    Samedi, en température ressentie, on devait être à -15 °C ou - 20 °C. Je n’ai jamais eu aussi froid sur le parc", disait Benjamin Vollot. Hier, la réserve s’est d’ailleurs vu confier cinq nouveaux hôtes, venant tous de l’Aude où, mercredi, on comptait déjà 55 dépouilles de flamants.

     

    Dans l’après-midi, c’était au tour d’Alan Johnson, le spécialiste mondial de ce volatile, d’amener un autre oiseau affaibli, portant donc à 16 le nombre de ces oiseaux soignés sur place. Lui dénombrait, sur son secteur, "une quarantaine de cadavres". "Mais le bilan s’alourdira quand la glace fondra", ajoutait cet ancien responsable du programme Flamants roses, initié par la Tour du Valat, le centre de recherche et de conservation des zones humides méditerranéennes au Sambuc, un hameau d’Arles

     

    . De fait, sur le parc de Pont de Gau, les salariés s’activaient. Pour soigner les oiseaux et les nourrir avec des croquettes pour chiens et des brisures de riz plongées dans de l’eau, mais aussi pour libérer de la glace des parcelles d’étang au moyen de pompes. "95 % des plans d’eau du parc sont totalement gelés", rappelait Frédéric Lamouroux.

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  • http://www.lindependant.fr/image/article/516x347/116043_115724_flamants6.jpg

     

    http://www.lindependant.fr/2012/02/10/un-flamant-rose-abattu-en-plein-vol,116043.php

     

     

     

    Le 10/02/2012 à 06h00 | Mis à jour à 08h05    L'Indépendant

     

    Tandis que les plus gros médias de France accourent à Gruissan pour s'émouvoir du sort des flamants roses en cette période de grand froid, ces pauvres animaux continuent d'être décimés par le vent et les températures négatives.

     

    Dix autres cadavres ont été retrouvés hier matin, toujours dans le secteur des salins. "Nous avons pu en sauver deux, qui étaient encore en vie", précise cependant l'adjoint Roger Lopez. "Tous les survivants ont été nourris puis transportés en Camargue".

     

    Pour eux, le calvaire est terminé.

    "La situation actuelle pose cependant la question d'un centre de secours de la faune au plan départemental", poursuit l'élu. "Gruissan serait candidat pour accueillir un tel site, qui nous permettrait de mieux faire face à de tels épisodes de froid".

     

    Malheureusement, on ne peut rien contre la bêtise humaine :

    Roger Lopez l'a constaté mercredi matin. "Je patrouillais vers l'ancienne décharge, au bord de l'Ayrolle", raconte l'élu. "Soudain, j'aperçois un flamant rose volant à une quinzaine de mètres d'altitude". L'instant d'après, un coup de fusil retentit : l'animal pique vers le sol. Mort. "Je l'ai vite retrouvé, mais n'ai vu personne. Le flamant était criblé de plomb".

     

    L'adjoint a alerté l'Office national de la chasse et de la faune sauvage, qui a dépêché un agent sur place. "J'ai déposé une plainte contre X", ajoute Roger Lopez, profondément indigné.

     

    "Le flamant est une espèce protégée, qui n'est même pas comestible. L'auteur a tiré pour le seul plaisir de tuer".

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